Ce qu'a dit Bourlanges :
Vous avez un système de plafonnement des cotisations sociales, en Allemagne, pour les hauts revenus (...) couplé avec le fait que dix millions de contribuables allemands sont autorisés à ne pas souscrire à l'assurance obligatoire sur la santé : ils souscrivent à des assurances volontaires. Si nous faisions un système comme ça en France, nous aurions une situation extrêmement délicate à gérer, car nous aurions une disparition très importante des recettes de la Sécurité sociale, bien plus importante que les économies correspondantes.
Triste aveu du fait que le train de la France roule, sans pouvoir en sortir, sur les rails collectivistes infernaux : d'un côté le déficit, le déséquilibre comptable permanent, de l'autre, la mise en esclavage des prétendus "assurés sociaux" qu'il faut à tout prix garder sous la contrainte. Sans cet esclavage, un peu comme dans les sociétés antiques, tout s'écroulerait !